Vin Diesel revient dans le rôle de Dominic Toretto, désormais une figure mythique du monde de la guerre souterraine, de l’espionnage mondial et, oui, des courses de rue illégales. Mais cette fois, la mission est personnelle… une fois de plus. Lorsqu’un État-nation rebelle libère une IA armée appelée CERBERUS, capable de détourner tous les véhicules sur Terre, Dom et son équipe doivent s’unir pour accomplir leur mission la plus impossible à ce jour : sauver le monde en déjouant l’algorithme.

Jason Momoa revient dans le rôle du flamboyant méchant Dante Reyes, plus déjanté que jamais, désormais associé à une mystérieuse cyber-reine incarnée par Cipher (Charlize Theron), ressuscitée grâce à une technologie qui fait ressembler Skynet à une montre connectée cassée. Et comme si cela ne suffisait pas, Dwayne Johnson et Jason Statham sont de retour en force, les poings battant et les insultes fusant à toute vitesse.

L’action ? De la pure folie cinématographique. Parmi les moments forts :

Une course-poursuite en drift de 10 voitures sur un porte-avions flottant en mer de Chine méridionale.

Une scène de combat en apesanteur dans la chute d’un satellite.

Un affrontement entre Lamborghini et un aéroglisseur à travers le Sahara.

Et le moment le plus fou à ce jour : Dom au volant d’une Dodge Charger au bord du Grand Canyon… et atterrit en plein vol dans un jet furtif. Vous avez bien lu.

Mais au-delà du chaos, Fast 11 parvient à dénicher des moments d’émotion surprenants. Brian Jr., le fils de Dom, est désormais adolescent, pris entre l’héritage de la vitesse et le poids de la violence. Letty, interprétée par Michelle Rodriguez, livre certaines de ses meilleures scènes de la franchise, à la fois en combattante acharnée et en véritable pilier émotionnel.

Le thème de la famille, comme toujours, est omniprésent, mais ici, il est mérité, surtout lorsque de vieux ennemis deviennent alliés et que certains visages du passé de la franchise réapparaissent dans des apparitions époustouflantes. (Oui, celui-là aussi.)